L’actualité régionale est régulièrement ponctuée d’évènements naturels extrêmes, voire catastrophiques, souvent en lien avec le réchauffement climatique.

Prenons par exemple la sécheresse exceptionnelle que nous avons connue au début de cette année avec seulement 5 millimètres de pluie sur 7 semaines, de mi-janvier à début mars. Les précipitations normalement attendues sur cette période auraient dû être de plus de 110 millimètres. Ce déficit hydrique est considérable et risque de poser des problèmes d’approvisionnement en eau tout au long de l’année.

Et relevons également la tempête « Mathis » qui a balayé notre région le 31 mars dernier avec des pointes de vents mesurés dans l’Entre-deux-Lacs à plus de 120 km/h, soit proches de celles relevées lors du passage de « Lothar » en 1999 (152 km/h à Cressier), ce qui démontre la violence de cette tempête !

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